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Mes mots random...
28 avril 2006

I - Initiation

Ma correspondante fantasmatique commençait à me courir... Elle m‘avait fait faux-bond trois fois au cours des deux derniers mois, ce qu’elle compensait néanmoins par des videos de plus en plus explicites et des texte transpirant une perversité qui allait finir par compromettre ma santé. Une fois de plus, elle venait de m’annoncer qu’elle était dans sa chambre d’hôtel. Et cette fois-ci elle m’avait demandé si je voulais venir la retrouver, pas à son hôtel pour que ses collègues ne sachent pas qu’elle recevait un homme, mais dans celui d’à coté. Je lui ai dit que je n’allais pas me taper le trajet sous la pluie et en moto pour rien, qu’elle n’allait pas me poser un quatrième lapin. Elle m’a juré que non.

Deux heures plus tard, j’étais sous cet abribus à Roissy-Charles de Gaulle, j’attendais dans le froid et l’humidité et je me disais que décidément j’étais trop con.

Dix minutes.

Quinze minutes.

Vingt minutes.

Et puis elle est arrivée. Les mains dans les poches d’un strict imperméable noir, et un chignon très serré L'allure parfaite de l'hôtesse de l'air, en effet. Et puis aussi, elle était grande. Des yeux en amande. Un visage et un port de tête de reine Egyptienne. Nous nous sommes regardés, j’ai juste dit « Tu es toujours d’accord ? » Elle a juste dit « oui ». Nous sommes entrés dans l’hôtel, nous sommes montés. Elle a ôté son imperméable. Elle avait un jean taille basse troué qui montrait sa peau caramel foncé et un haut rose vif, lacéré de telle façon qu’on puisse apercevoir des seins qui, sans le moindre support, donnait à sa silhouette le galbe impossible des mannequins en plastique des boutiques de lingerie. Les photos étaient en-dessous de la réalité.

J’ai eu un moment de flottement. J’aurais dû m’incliner plus bas que terre devant cette beauté absolue, lui baiser les pieds. Le Cantique des Cantiques m’est revenu en mémoire : « Je suis belle, oh mortel, et tous baissent les yeux devant mon corps de lumière noire ».

Alors je lui ai dit de se mettre à genoux devant moi, ce qu’elle a fait en baissant les yeux.

J’ai saisi fermement son visage dans ma main gauche comme j’aurais pris un objet, avec le seul souci d’avoir une bonne prise. Par la mâchoire. De la main droite j’ai déboutonné mon pantalon. Elle était hôtesse de l’air, mon sexe s’est déployé comme une rampe d’évacuation d’urgence. J’ai approché ma queue. J’ai senti son souffle chaud sur mes cuisses, j’ai vu son corps osciller sous elle, sur ses genoux et ses pieds fléchis. Puis j’ai posé mon sexe sur son visage. Sur ses yeux, sur ses joues, pour qu’elle sache. Pour qu’elle ressente son durcissement et mes couilles qui frôlaient sa bouche. Alors j’ai pris en main mon sexe et je l’ai frappée avec. D’un mouvement sec, rude. Tu ne bouges pas. J’ai maintenu sa tête et je l’ai frappée de nouveau, au même endroit, sur la pommette. Un choc assourdi mais réel. Sa tête a eu une mouvement, presque un spasme. Elle a respiré plus fort. J’ai appuyé avec mes pouces sur ses joues, forçant sa bouche à s’ouvrir... Plus grand, j’ai dit. Elle a écarté les mâchoires et j’avais le rose de sa bouche derrière la blancheur de ses dents. Plus grand, j’ai répété. Elle a écarquillé les yeux. Je lui ai redonné un coup. Ses yeux ont brillé plus fort. Alors j’ai saisi son chignon, j’ai basculé sa tête en arrière et j’ai plongé mon sexe dans sa bouche ouverte. Elle a eu un hoquet et j’ai pensé qu’elle allait vomir. Et pourquoi pas ?… Je suis resté là, bâillon de chair pendant que ma main maintenait sa tête. Quand je suis sorti de sa bouche, elle a pris une série d’inspirations hachées. Tu aimes, j’ai demandé ? Elle n’a rien répondu. J’ai donné un coup sur son visage avec ma verge. Tu aimes ? Oui, a-t-elle murmuré. Alors on va continuer, j’ai dit, mais cette fois-ci respire bien avant. Elle a ouvert grand la bouche et je me suis enfourné droit et sans ménagement, cherchant sa gorge. Un nouveau hoquet. Un filet de bave a coulé sur ses seins, sur les seins les plus parfaits du monde. Je l'ai de nouveau libérée. Maintenant tu vas me montrer si tu sais sucer un homme, je lui dis doucement. Elle m’a regardé avec intensité, elle savait. Elle a hoché la tête. Elle savait, nous en avions parlé. Tu es prête à me sucer ? Elle a fait oui de la tête et je suis rentré en elle, mais cette fois-ci doucement, progressivement, délicatement, mais loin, très loin. Vas-y, avale... Plus loin. Comme ça. Encore. Encore. Sa bouche était entièrement occupée, je voyais le mouvement de ses lèvres qui cherchaient à happer mes testicules. Je sentais sa chaleur autour de ma queue. Elle était appliquée. Concentrée. Oui… j’étais maintenant très profond en elle, plus profond que je l’ai jamais été dans une bouche, elle me suçait totalement, intégralement… Elle bavait encore, je voyais ses yeux qui brillaient, les larmes qui perlaient, sa poitrine qui se soulevait par saccades… Je me suis retiré doucement, j'ai relâché la pression de ma main. Elle a pris une grande respiration. Tu vois ? Tu pouvais le faire. J’ai essuyé son menton avec mon pouce et l’ai félicitée. Tu es une bonne petite avaleuse de bite... Un regard noir, un sourire au coin des lèvres. Yeux à présent plantés droits dans les miens. Ce n’était que le début…

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